de l'enfant. De plus, le processus est ancré dans un contexte bureaucratique et légal rigide. Ce contexte restreint la possibilité de considérer l'entièreté du vécu de l'enfant (situation familiale, médicale, sociale), autrement dit « d'habiter le corps et l'univers mental de l'autre » (Ameisen, 2019), ici, des mineur·es.