La démarche d'aménagement dans certains pays africains des zones sèches coûte cher, même lorsqu'elle est simplifiée. La connaissance de la ressource exploitable passe par des inventaires d'aménagement, prenant en compte la régénération naturelle (semis) et le recru par voie végétative. En fait, seuls les rejets de souche et les « semis » sont comptabilisés.
